La Pulpeuse Nathalie : Et L’Inconnu Du Train. Elle Prend Du Plaisir Lors D’Un Voyage En Tgv (Partie 8/9)

Après les cocufiages dans les deux couples d’associés du cabinet d’expert-comptable, la pulpeuse Nathalie qui venait de tromper son mari avec Richard, après avoir appris que Vincent son époux, baisait depuis toujours et régulièrement avec son associée Florence, compagne de Richard, une mise au point s’imposait, l’actionnaire principal Vincent, le couple d’associés : Florence et Richard et la femme du premier : Nathalie, étaient attablés dans la grande salle de réunion. Le PDG prit la parole :

Vincent : « Bon ! Nathalie, Nous te devons des excuses, nous n’aurions jamais dû te cacher notre relation avec Florence. C’est impardonnable de notre part. Aujourd’hui, nous avons une boite à faire tourner que faisons-nous de nos affaires de fesses ? »
Florence : « Je te reconnais bien là, Vincent ! nous n’aurions…Nous te devons…Tu n’as jamais eu de couilles, tu connais mes intentions depuis 10 ans, c’est avec moi que tu devais te marier, pas avec Nath mais Monsieur n’a jamais pris ses responsabilités. Divorce non de Dieu, c’est la seule solution aujourd’hui. Elle t’a fait cocu avec celui qui partage mon lit…

Richard : « Car tu crois que tu es une sainte Flo ? Tu baises avec Vincent depuis 10 ans, sans que je puisse dire quoi que ce soit, sans que Nath le sache et tu rejettes la faute sur Vincent. Vous êtes tous les deux aussi fautif l’un comme l’autre. T’y vas fort tout de même, tu as un sacré toupet. »
Florence : « Toi ! La ferme, tu n’es qu’un queutard, il n’y a pas une seule employée dans l’entreprise que tu n’as pas baisée, tu n’as embauché que des bimbos pour ça, la dernière en date c’est Nath, maintenant c’est fait.

Vincent : « Stop vous deux, nous ne sommes pas là pour régler nos comptes, juste pour trouver une solution à nos problèmes au sein de la société « EMDEC & associés ».
Florence : « Mais tout est lié mon Vincent, tu crois que tu vas pouvoir continuer à me voir si tu ne divorce pas ? Tu accepteras que ta femme te fasse cocu ? Notre clientèle va vite s’en apercevoir, ça va jaser crois-moi.

Pour ma part, je me sépare de Richard à partir d’aujourd’hui. Tu fais tes valises ce week-end Ric. Toi Vincent, tu as 48 heures pour te décider. »

Vincent : « Sinon quoi ma chérie, tu quittes l’entreprise ? Car c’est de cela que j’aimerais que l’on discute. »
Florence : « Oui ! Je vous revends mes parts et je monte une boîte concurrente, tu sais très bien que je vous prendrai plus de 50% de votre clientèle. C’est moi qui l’ai créée cette boite après tout. » Et toi Nath, dit quelque chose putain ! Tu restes là sans rien dire !
Vincent : « Nathalie n’est pas associée. Elle est présente en tant que mon épouse, elle ne peut donc voter aucune de nos décision et c’est bien d’« EMDEC & associés »

Richard : Mais tout est lié Vincent, tu le vois bien. Si Flo s’en va, c’est la catastrophe pour « EMDEC & associés » tu le sais bien. Pour ma part, je continue à me donner à fond dans mon travail mais je me casse, de toute façon notre couple ne tenait plus qu’à un fil et celui-ci vient de rompre. »
Vincent : « Florence, tu es calmée ? Digère la pilule, Richard te faisait déjà cocue, ce que tu n’acceptes pas, c’est qu’il a baisé ma femme. Et pourquoi pas après tout ? Merde ! C’est ce qu’on fait tous les deux depuis longtemps, tu ne vas pas, en faire un plat.

Florence : « Voilà le beau parleur ! Tu lui pardonnes, OK. Les choses sont claires pour moi, j’ai déjà reçu une proposition, je t’en avais parlé, il voulait que l’on associe nos deux entités. Soit, tu divorces et tu vis avec moi, soit je pars chez « COMPTA-PRIM » avec mes clients.

Cette dernière intervention, plongea l’assemblée dans un silence de mort, ce que craignait les deux hommes était de voir partir Florence, c’était la meneuse, elle était hyper compétente, généreuse dans son travail et ils s’entendaient à merveille niveau boulot et ça depuis la création de la société. Elle ne donnait pas l’impression de bluffer, ce n’était pas son genre et ils la connaissaient suffisamment pour savoir qu’elle était prête à tout pour obtenir ce qu’elle désirait, c’était une gâtée.


Nathalie : « Tu n’es qu’une salope Florence. Ça je ne le savais pas, je pensais être ton amie, mais tu viens de me montrer que tu n’es qu’une égoïste, une manipulatrice égocentrique. Je te le laisse mon salopard de mari, je ne pourrai plus le regarder après ça. Je me casse aussi. »

Florence : « Contrairement à toi Nath, moi je l’aime et je l’aimerai toujours. Ne nous emmerde pas et divorce, va te faire baiser par Richard, il n’attendait que ça.
Nathalie : « Certainement pas, c’est un bon coup, je dois l’admettre mais il est bien trop pote avec vous et ne ferait pas un bon compagnon.

Nathalie prit son sac à main et sa veste, s’était levée puis quitta la salle de réunion sans même saluer ses amis, elle était partie les larmes aux yeux et avait bien l’intention de refaire sa vie. Ce n’était pas la première fois qu’elle se retrouvait seule. Lorsque Nathalie franchit la porte, Vincent très gêné se leva et essaya d’aller retenir son épouse. Florence qui était debout, se mit en travers de son chemin, le prit par le cou en lui disant :
— Laisse-là mon chéri, elle a besoin d’être seule un moment. Ça doit être difficile pour elle de se sentir abandonné par son mari.

Richard : « Comme ça les choses s’arrangent, nous nous retrouvons comme avant uniquement tous les trois, nous allons pouvoir reprendre le travail d’arrache pieds.
Florence : « Tu as raison Ric, je sors le champagne, longue vie à « EMDEC & associés ». Ben ! mon amour tu ne dis rien ?
Vincent : « … Si, longue vie à « EMDEC & associés ».

Comme à son habitude, Vincent n’avait pas fait le nécessaire pour retenir son épouse. Nathalie qui était têtue, avait quitté provisoirement le foyer et attendait des explications de son mari. Mais elle ne les avait jamais eus, Vincent ne s’était pas manifesté la semaine suivante. Elle prit donc la décision de retrouver du travail dans un premier temps et n’eut pas besoin de demander le divorce car Florence s’en était occupée et Nath reçut les papiers cinq jours seulement après son départ du domicile conjugal.


Ce fut auprès d’Anthony que Nathalie s’était tournée, celui-ci fit des pieds et des mains pour trouver un poste, chez un de ses amis, à son ancienne maitresse qu’il n’avait jamais oubliée. Sexuellement parlant, Nathalie trouvait son bonheur avec Richard dans le studio N°6, dans un premier temps puis avec Anthony le concessionnaire automobile qui avait quasiment un soir, la porte de son appartement qu’elle lui louait depuis sa séparation avec Vincent. Mais ce n’était pas les seuls, si elle n’avait plus de vie sentimentale proprement dite, elle avait une vie sexuelle bien remplie et n’hésitait pas un instant de profiter de la vie. Toutes les occasions étaient bomme pour prendre son pied.

Comme par exemple ce dimanche-soir où Nathalie, après un week-end passé à Paris rentrait en train dans sa ville de province. Elle s’était donc résolue à prendre un TGV avec une correspondance de 2 heures. Installée dans un « carré » d’une voiture de la SNCF, qui permettait d’être un peu plus à l’aise, un homme d’une quarantaine d’années, bel homme comme les aimait Nath, par galanterie, la laissa passer et l’aida à monter dans le train. Elle eut la chance de retrouver ce même homme, c’était son voisin de siège. En face d’eux, se trouvait un vieil homme. Dans le carré voisin, il n’y avait personne, le train était loin d’être complet à cette heure tardive.

Lorsqu’elle voulut installer sa petite valise au-dessus du siège au niveau du plafond, elle rencontra quelques difficultés. Ses jambes fuselées émergeaient d’une jupe courte qui mettait ses fesses en valeur, son buste était moulé dans un chemisier ajusté qui laissait deviner une poitrine de star du X et son ventre plat. Le voisin ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux. Sa jupe remontée par la position des bras levés, dévoilait la dentelle de ses bas gainant ses cuisses. Ce galant et bel homme, après s’être rincer l’œil, l’aida à l’installer son bagage :
— Merci Monsieur ! Dit-elle en redescendant sa jupe, je suis désolée.

— Ce fut un plaisir Mademoiselle ! Moi c’est Martin.

Nath toujours debout tenait sa veste légère qu’elle voulait poser sur ses genoux, profita de la situation.
— Nathalie ! Enchantée et merci. Puis-je encore vous importuner ? En lui montrant son vêtement à placer sur sa valise. Martin se leva et vu l’étroitesse de l’espace, Nath se frotta contre lui en lui demandant de ne pas la froisser, ce qui permit de faire durer ce contact.

Le train était parti depuis un bon quart d’heure, ils résidaient tous les deux dans la même ville, Martin était promoteur immobilier et revenait du salon de l’habitat. Voulant allumer son voisin, une nouvelle fois, elle lui demanda, si elle ne pouvait pas changer de place afin d’être côté vitre, ce qu’il accepta immédiatement. Ils se levèrent et ment, les fesses de Nathalie se frottèrent contre le corps puissant de Martin au moment de l’échange des sièges. La discussion se poursuivait, tout en étant très courtoise. Elle avait appris qu’il était marié et avait deux s :
— Si nous allions prendre un verre, ça vous dit ? demanda-t-elle avec sa voix suave.
— Excellente idée. Répondit Martin qui était sous le charme de cette plantureuse créature qu’il regardait avec envie.

Sur le chemin jusqu’au wagon bar, Martin eut plusieurs fois l’occasion de mettre la main sur ses hanches afin de l’empêcher de tomber. Ce contact, que Nath recherchait, lui faisait monter le désir. Cet homme dont le parfum de son déodorant mélangé à l’odeur du tabac, enivrait la jeune femme, elle adorait se mélange. Assis l’un contre l’autre devant le comptoir, ils eurent l’occasion de parler encore, Martin aimait raconter des histoires drôles qu’il partageait volontiers avec sa voisine. La main de Nathalie s’était à plusieurs reprise posée sur celle de Martin lorsqu’elle riait de bon cœur. Ce couple qui ne se connaissait pas, une heure auparavant, semblait pourtant très proche. Sur le chemin du retour, elle lui avait demandé de lui tenir la taille car elle manquait de stabilité avec ses talons de 10 cm.

En revenant à leur place, le vieux monsieur s’était assoupi. Nathalie pour être plus à l’aise, releva entièrement sa jupe pour reposées ses fesses directement sur le tissu du siège et remonta l’accoudoir escamotable séparant les deux fauteuils. Puis elle reposa la main sur celle de son voisin :
— Connais-tu d’autres histoires, j’adore comme tu les racontes ? Demanda-t-elle en le tutoyant, sans retirer sa main.

Martin avait compris qu’il fallait tenter sa chance, c’était pour lui une occasion rêvée de conquérir cette pulpeuse et néanmoins jolie femme. Il se rapprocha un peu d’elle, et posa sa main sur sa cuisse en remontant légèrement le tissu de sa jupe :
— Attends Martin, reprend ma veste s’il te plait.
— Merci de rendre ce voyage si agréable. Dit-il après avoir posé le vêtement au-dessus de ma main baladeuse.

Leur voisin s’était endormi, il ronflait et ne pouvait donc pas les surprendre en train de se caresser mutuellement. Ils ne se parlaient plus, leurs yeux ne se quittaient pas. De sa main posée sur l’entre-jambes de Martin, Nath constata qu’elle provoquait une vive émotion dans son jean serré. Une belle érection déformait sa braguette, tandis que lui constatait de son côté que ses doigts passés sous le string, caressant ainsi l’intimité de sa voisine étaient bien mouillés.

Nathalie posa sa tête sur l’épaule de Martin en gardant sa main droite sur son sexe. Il changea quant à lui de position, il se mit de trois-quarts, mit son bras gauche sur l’épaule de sa voisine et déposa sa main sur son sein. Sa main droite retourna sous la jupe pour pénétrer ses doigts dans la fente trempée de Nath qui écartait les jambes pour faciliter cette caresse. Ils s’embrassèrent fougueusement tout en continuant à se faire du bien.

Après le passage du contrôleur de billets, qui venait d’interrompre leurs attouchements intimes, Martin en profita pour ôter sa veste pour la mettre également sur ses jambes. Il dégrafa son pantalon et sortit son sexe de sa prison de tissu. Nathalie en prenant sa verge à pleine main fut surprise et curieuse, elle leva légèrement la veste et regarda :
— En effet mon pauvre chéri, tu devais souffrir d’être à l’étroit, tu es bien monté, ta femme doit se régaler.
— Que dire de toi, tu es vraiment bien gaulée. Tu sais, ce n’est pas mon habitude de tromper ma femme.
— Et ça te gêne tant que ça ? Ce n’est qu’une petite gâterie, mais je peux t’en donner beaucoup plus si tu veux. Lui dit-elle en accentuant un peu la pression de ses doigts sur sa queue.

Elle avait basculé son bassin vers l’avant, posant sa cuisse sur le genou de son voisin, afin qu’il puisse insérer ses doigts bien plus profondément dans son vagin qui mouillait de plus en plus. Sa poitrine se soulevait au rythme du va et vient de ses doigts entre ses grandes lèvres. Pendant que lui, sa verge était si raide qu’il se crispait à chaque passage des doigts délicats de la jeune femme, sur le bout de son gland. La situation était tellement excitante, qu’à un certain moment, ils allaient bientôt arriver à destination, lorsqu’il fut dans l’obligation de lui dire :
— Arrête, je vais jouir.
— Non ! n’arrête pas, moi aussi je prends mon orgasme. Dit-elle en lâchant un jet de son liquide de jouissance sur le tissu du siège.

Tout en continuant son massage pervers sur la queue de Martin qui ne put se retenir d’éjaculer en jets continus, sur la main de sa voisine. Le train arrivait en gare, lorsqu’il se rhabillait. Son boxer et son pantalon était mouillé de son sperme :
— Que va dire ta femme maintenant ? Viens chez-moi, il faut passer un peu d’eau et sécher tout ceci.
— T’es une sacrée salope toi. Tu en veux encore ?
— J’adore quand les hommes parlent de moi ainsi. Bien sûr que je veux que tu m’en donnes un peu plus.
Martin envoya un SMS à sa femme, lui expliquant qu’il ne rentrerait que le lendemain matin. Il passa la nuit chez Nathalie qui fut plus que comblée, elle avait trouvé un amant à sa hauteur.


Si comme Nathalie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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